Früher war die Zukunft auch besser...
Bien...Il faut bien sûr répondre vite à ces questions qui vous taraudent :
Qu'est ce que ce titre ? Pourquoi tant d'anglais ? Comment afficher la lignes d'idéogrammes sous le titre ? Qui suis-je ? Que feuj ?
------>[]Qu'est ce que ce titre ? Pourquoi tant d'anglais ? Comment afficher la lignes d'idéogrammes sous le titre ? Qui suis-je ? Que feuj ?
Rentrer dans un egotrip faussement modeste ou exagérément vantard n'est pas justifié ici, et puis c'est pas parce que j'ai fini par céder aux sirènes du blog que je vais forcement essayer d'être original et n'être que con au final, hein ? D'ailleurs, en ais-je besoin ?
Non, le faux désœuvrement qui me pousse à poster, c'est le syndrome de "j'ai pas le temps de faire les choses importantes alors j'essaye d'oublier en le gâchant avec un truc bidon mais récréatif".
Qui plus est, ça permet de pas penser aux soucis.
Qui plus est, ça permet de pas penser aux soucis.
Qui n'a pas de soucis n'a jamais été amoureux, dit jadis Pascal Sevran entre deux accordéonistes. Gravés dans ma mémoire comme dans du marbre de Carrare, ces mots ont trouvés hélas récemment un écho assez puissant. D'ailleurs, j'ai dormi 5 heures en 2 nuits et j'ai sauté 3 repas, c'est dire si je me sens soucié.
En fait, j'ai pas franchement envie de vous expliquer les citations qui émaillent ce blog. Ça peut être un jeu aussi, d'arriver à en retrouver l'origine...vous en apprendrez long sur moi, mmmmh...
Bon. Pouf pouf~~~*
Bon. Pouf pouf~~~*
Voila. Alors en gros : je déprime, mon appart' est une porcherie et je suis en phase asociale. Hence this blog.
<- C'est mon couloir. Intéressant, non ? Et quel talent de photographe...
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire